Pour cette journée spéciale du 8 Mars – placée entre la journée internationale du tennis (4 Mars) et la journée mondiale de la plomberie (11 Mars), j’ai fait le ménage.
Je ne suis pas adverse à mettre de l’ironie dans ma vie.
Pour compenser cette activité essentiellement féminine, j’ai aussi bu de la bière pression et je suis allée au cinéma voir un film avec des hommes: Diplomatie. Selon plusieurs magazines ou blogs, l’histoire n’est pas tout à fait vraie, Paris n’était pas si en danger, les dialogues sont imaginés et la date est fausse. C’est important de le savoir et rendre hommage à celles et ceux qui ont vraiment protégé Paris, mais cela n’empêche pas le film d’être excellent avec deux formidables acteurs. Depuis Quai d’Orsay je redécouvre combien Niels Arestrup a du talent.
Amusant ma chère. Je ne suis pas opposé à l’ironie que tu mets aussi dans tes billets. :-)
Je m’attendais à un billet sur l’inégalité entre hommes et femmes et un film sérieux sur les femmes et voilà que tu me prends à contre-pied. Toujours imprévisible. J’aime. :-)
Je crois qu’une partie des monuments aurait sauté, dont la Tour Eiffel, ce qui n’est pas catastrophique en soi, mais certains quartiers devaient aussi disparaître, avec les ponts.
S’il n’avait pas rencontré Hitler en 1944, et constaté qu’il avait perdu tout sens des réalités, et que la guerre était pratiquement finie à quelque mois près, je pense qu’il aurait obéi.
Il avait participé à des massacres sur le front de l’Est, même s’il est resté discret sur ce point.
Disons qu’on a eu la chance de ne pas avoir affaire à un fou furieux jusqu’au-boutiste du genre SS.
Sauf que l’histoire racontée n’est pas aussi simple. C’était la débâcle et les résistants étaient dans Paris donc peu de chance que cela arrive. Plus on sait dans le film que c’était un SS, qu’il a ordonnée le bombardement d’autres villes, qu’il a ordonné des trains pour les camps, etc. Il le dit lui-même sans aucun regret.