j’aime #17

Written by murielle

1. Lire des nouvelles telles que plus de 200 filles ont été sauvées dans un fief de Boko Haram

2. Ne toujours pas stresser à propos de mon départ de Bayonne, alors que je n’ai toujours rien trouvé, que je ne sais pas ou et comment je serai au 1er juillet. Je dois refouler tout ça. Et ça va faire mal quand je serai face au mur.

3. Dormir la nuit. Les insomnies se font plus rares et plus distantes.

4. L’aventure positive d’Eklektika. Aujourd’hui le Pays-Basque (des deux cotés) et le Béarn, demain le monde, après-demain l’univers. Un agenda et magazine culturel avec du cœur, une âme et une envie. C’est bien.

5. Le dernier opus de Deon Meyer, auteur conseillé par la blogueuse MHF.

6. Les jeunes pousses et les petites feuilles vertes qui repoussent d’une plante que je croyais finie après trop de bouleversement – elle me suit depuis 2008 et l’Angleterre, et pas assez de lumière. Elle résiste et s’accroche, comme moi.

7. Le cynisme et/ou l’ignorance d’un interviewé dans le journal Sud Ouest (Festival Kulture sport) et l’évidente méconnaissance du mot culture, de son sens et de son rôle. (ce j’aime est bien entendu à prendre avec une belle louchée d’ironie).

8. Avoir ces petits « moments d’eureka », ces moments quand on comprend enfin quelque chose, ou qu’on a un déclic sur un blocage. C’est ce petit moment léger qui rend gai parce qu’on se dit qu’on a raison, qu’on est loin d’être bête et qu’on est sur la bonne voie.

9. Que les hauts soient encore, toujours plus nombreux que les bas.

10. Les listes.

3 thoughts on “j’aime #17

  1. burntoast says:

    J’avais loupé la bonne nouvelle sue les jeunes filles. Quel soulagement, au moins pour ces deux cents là, tout en devinant ce qu’on leur a fait subir.
    Les moments « eureka » sont sont presque infimes, tellement il est dur, parfois, de faire une synthèse de comment on perçoit au mieux les choses (je me comprends).

    • Burntoast says:

      En réalité, on n’est sûr de rien. C’est hélas un nouvel d’annonce de l’armée nigériane.

  2. Nathalie says:

    Je comprends aussi les moments euréka, ce sont comme des illuminations, qui ne sont pas perceptibles par les autres autour de soi, mais qui nous confortent dans nos opinions ou nous aident enfin à comprendre le pourquoi d’une situation. Je l’ai souvent à propos des autres, du genre je comprends pourquoi cette personne agit comme ça. C’est un peu la confirmation d’une intuition ou d’un savoir qu’on avait oublié mais qui était là

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