Écouter,  Pleurer

Never wave bye-bye

Bon alors tout le monde y est allé de son souvenir, de sa tristesse et tout ça à la mort de David Bowie.

Moi aussi j’ai été triste.

De réaliser que j’ai grandi – et vieilli – avec de la bonne musique, avec des artistes/chanteurs créatifs, talentueux, innovateurs, spéciaux mais jamais ridicules qui traversent les époques avec grâce et insolence, jusqu’au point d’oublier qu’ils sont eux aussi mortels.

Donc voilà, un bel artiste s’en est allé. Et de me dire que j’ai eu quand même la chance de le voir live en 2003 à Manchester et que ce sera un autre joli moment à mettre dans ma boite à souvenirs avec celui d’Amy Winehouse et quelques autres.

On l’aimait tous pour des raisons différentes, l’une d’elle était sa soif de culture expliquée dans l’expo qui lui a été consacrée à Londres en 2013.

Personnellement son talent aura aussi été de me faire « supporter » voire même un peu aimer le son du saxo (lui et Bruce Springsteen) parce que franchement c’est pas le son que je préfère.

he never waves bye-bye…

david-bowie

6 commentaires

  • Amaya

    Comme toi j’ai du mal avec le son du saxo. Mais j’ai rencontré peu de personnes dans notre cas.

    Concernant Bowie , c’est sa voix qui m’a accrochée :
    Son timbre , sa façon de se placer sans effort , son amplitude et ce décalage , une sorte de quart de ton au-dessus qui donne une dissonance provoquant un attrait fou , comme si on revenait écouter pour reposer ce qui est suspendu . Des préliminaires infinis ….

  • Nathalie

    Je n’ai pas eu ta chance de le voir en vrai. Il a vraiment marqué des générations, il suffit de voir les hommages rendus en ligne, à la télé etc. Il semblait aussi être un mec bien. C’est très triste.

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