Ça commence avec de la nostalgie et de l’espoir “I wanted to bathe you in endless summer” mais lentement se désintègre en mépris, métaphores froides et surréalistes délivrées avec une voix monotone « coupe moi comme du bois », « bats moi comme les jaunes d’oeufs« .
Des guitares qui trébuchent l’une sur l’autre, avec un faux air de Blur ou de Belle and Sebastian et une voix à la Nico, elle rappelle les musiques des années 60 de la scène psych.